Il faut le reconnaitre : nous entretenons une passion plutôt énergivore et polluante. Pour ma part, ma conscience a de plus en plus de mal à être rassurée et éblouie par l’esthétisme, ma culpabilité d’habitant de la planète devenant de plus en plus vindicative. C’est pourquoi je me suis interessé depuis quelques mois à ces designers, entreprises ou agences qui ont fait le (bon) choix d’un retour aux sources : la beauté à l’état naturel.